Introduction aux plantes médicinales adaptogènes

Parmi les plantes médicinales, un petit nombre sont réputées avoir une action bénéfique globale sur l’organisme en renforçant sa vitalité, en modulant de manière optimale ses défenses immunitaires et en régulant son métabolisme. Ces plantes sont appelées « Tonique supérieur » en Chine, « Rasayana » en Inde, et qualifiée d’« adaptogènes » ou d’« immunomodulantes » en Occident.

La consommation régulière de telles plantes contribuerait à rester en bonne santé, à prévenir les maladies ou à retrouver un équilibre en stimulant le potentiel de guérison du corps lorsqu’il est confronté à un stress, physique, chimique ou biologique.

Connaître les plantes « adaptogènes » disponibles dans son environnement, et apprendre leurs usages nous doterait d’un savoir utile au maintien de notre corps en bonne santé

Introduction aux plantes médicinales adaptogènes

Histoire des plantes « adaptogènes »

Le mot « adaptogène » de même que le concept de « plante adaptogène » sont récents. En Europe, l’étude de ces plantes s’est développée dans le contexte particulier de la seconde guerre mondiale puis de la guerre froide opposant L’URSS aux États-Unis.

En 1943, une résolution du gouvernement de l’URSS entérina le lancement d’un programme d’études dans le but de trouver des substances naturelles permettant d’augmenter les aptitudes et le potentiel humain durant la seconde guerre mondiale.

Les premières recherches portèrent sur une plante originaire du Nord Est de la Chine et de Mongolie : Schisandra chinensis. Cette liane arborescente est une plante majeure de la médecine traditionnelle chinoise, dont la baie appelée « graine aux cinq saveurs » est considérée comme un don des Dieux, pour sa capacité à augmenter le Qi, c’est-à-dire l’énergie vitale qui crée la vie dans l’Univers. La baie est réputée augmenter la résistance de l’organisme, améliorer les performances cognitives, physiques et être un aphrodisiaque efficace.

Entamée dans le cadre de la guerre contre l’expansionnisme nazie, le programme de recherche fut reconduit dans celui de la course à la productivité et de la conquête de la suprématie idéologique, militaire et scientifique entre « Est » et « Ouest »

Le pharmacologue russe Nicolaï Lazarev qui étudiait les propriétés de Schisandra chinensis créa en 1947 le concept d’« adaptogène » pour caractériser les substances phytopharmacologiques « capables d’induire dans un organisme un état de résistance augmentée non spécifique permettant de contrebalancer les signaux de stress et de s’adapter à un effort exceptionnel ».

Au début des années, 60, les travaux de Nicolaï Lazarev ont été poursuivis par Israël Brekhman son ancien élève devenu chef du Département de physiologie et de pharmacologie de l’adaptation à Vladivostok. Israël Brekhman étudia notamment les propriétés de l’éleuthérocoque (Eleutherococcus senticosus) également surnommée « ginseng sibérien ».

Il définit en 1968 trois critères pour caractériser un adaptogène :

1. augmenter la résistance de l’organisme contre les agresseurs de différente nature (physiques, chimiques ou biologiques) de manière non spécifique ;

2. présenter une influence normalisatrice, quel que soit les changements à partir des normes physiologiques ;

3. montrer une absence de toxicité et d’influence sur les fonctions normales de l’organisme

En 1969, les travaux couvrant 15 ans de recherches furent publiés hors de l’URSS, par Brekhman & Dardymov dans la revue internationale, Annual Review of Pharmacology. Jusqu’au milieu des années 80, plus d’un millier d’études seront publiées en russe concernant les extraits et constituants préparés à partir de l’éleuthérocoque, du ginseng, de la rhodiole et du schisandra de Chine puis les travaux se poursuivront à un rythme soutenu et s’internationaliseront.

Pour l’herbaliste Christophe Bernard : « Les plantes adaptogènes agissent sur l’axe hypophyse-hypothalamus-surrénales afin de calmer le stress chronique et de rebâtir la personne épuisée par le stress. Leur propriétés propres sont de nature différente de celles des plantes simplement toniques qui offrent une prise en charge d’états de fatigue passagers (asthénies fonctionnelles). Elle exercent une influence régulatrice sur la physiologie, en augmentant une fonction déficiente et en diminuant une fonction en excès. »

Dinesh Kumar, précise quant à lui, la distinction et le lien entre plante immunostimulantes et plantes adaptogène dans l’article « A review on immunostimulatory plants » publié en 2011 dans la revue Journal of Chinese Integrative Medicine de la manière suivante :

Les termes « immunostimulants » et « adaptogènes » qualifient tous deux des substances capables d’accroître la résistance d’un organisme à des facteurs de stress d’origine variable. Les deux types de médications obtiennent cette amélioration principalement par des mécanismes d’action non spécifiques.

Les immunostimulants stimulent généralement, d’une manière indépendante des antigènes, la fonction et l’efficacité du système immunitaire non spécifique afin de contrer les infections microbiennes ou les états immunosuppresseurs.

Les adaptogènes sont censés renforcer le pouvoir de résistance non spécifique de l’organisme contre les agents nocifs physiques, chimiques ou biologiques.

En ce qui concerne les mécanismes d’action, les immunostimulants influencent principalement le système immunitaire humoral et cellulaire, tandis que les adaptogènes sont censés agir entre le système immunitaire et le système endocrinien ; il est très souvent difficile, voire impossible, de faire la distinction entre les deux mécanismes d’action. Il n’est donc pas surprenant que ces deux classes de médicaments puissent influencer les deux systèmes en même temps.

Plantes adaptogènes au regard des traditions médicinales chinoise et ayurvédique indienne

Médicine traditionnele chinoise

La médecine chinoise appelle « tonique supérieur » ou « tonique majeur », la catégorie des plantes qui régularisent les diverses fonctions du corps, augmentent l’énergie et favorisent globalement la santé sans traiter nécessairement pour autant de maladies spécifiques.

Le terme « supérieur » ou « majeur » distingue ces plantes des simples « toniques » qui agissent par la stimulation d’une seule fonction et n’ont qu’un effet immédiat et à court terme. Le plus connu des toniques supérieurs d’origine chinoise est la racine de ginseng (Panax ginseng).

Cette catégorie de plantes comprend également :

- Dong quai, l’angélique de chine surnommée ginseng féminin (Angelica sinensis) ;
- Gan Cao, la réglisse (Glycyrrhiza glabra) ;
- Ho shou wu, la renouée à fleurs multiples (Polygonum multifolium) ;
- Wu Wei Tza, la baies aux cinq saveurs (Schizandra chinensis) ;
- Hong jin tian, l’orpin rose ou racine dorée (Rhodiola rosea) ;
- Kou chi tza appelé communément « goji » (Lycium chinensis) ;
- Huang ch’i, l’astragale de chine, (Astragalus membranaceus) ;
- Ti huang, la digitale de Chine (Rehmannia glutinosa) ;
- Tang shen, surnommé gingembre des pauvres (Conodopsis lanceolata) ;
- Baizu (Atractylodes macrocephale),
- Cangzu (Atractylodes china) ;
- Shi hu (Dendrobium nobile) et (candidum) ;
- Da zao (Zizyphus jujube) ;
- Rou gui (Cinnamomum cassia ;
- Tiandong (Asparagus cochinnensis)
- Ling Zhi, le champignon Reishi ou Ganoderme
- Fenwang, la gelée royale
Source : Plantes Toniques Majeures Chinoises

La médecine indienne classe certaines plantes comme « rasayana ». Ce terme fait référence à la régénération de la vie ; il signifie littéralement « circulation de l’essence ». L’une des huit branches de l’ayurvéda est consacrée à l’usage des rasayana.

Parmi les principales plantes rasayana, on peut citer :

- amla ou amalaki (Phyllanthus emblica),
- ashwagandha surnommé « ginseng indien » (Withania somnifera) ,
- brahmi ou Hysope d’eau (Bacopa monnieri),
- bhandi surnommé « herbe du tigre » (Centella asiatica),
- curcuma (Curcuma longa),
- le poivre noir (Pipe rnigrum),
- le gingembre (zingiber officinalis),
- le guduchi (Tinospora cordifolia),
- le shatavari ou asperge à grappes (Asparagus racemosus)
- le tulsi ou basilic sacré (Ocimum sanctum).

Pris individuellement, chacun de ces végétaux « rasayana » génère son propre effet particulier, mais ils sont aussi associés dans des formules pour produire un effet synergique et holistique adaptogène supérieur à la somme des effets des composants individuels. En sanskrit, le terme utilisé pour cet effet est « sanyog ».

Withania somnifera

Les plantes considérées comme adaptogènes font partie des plantes dites « toniques majeurs » en chine et « rasayana » en Inde. Pour autant, la catégorie européenne
« adaptogène » ne recouvre pas les catégories chinoise et indienne. À ce jour, le nombre de plantes que la recherche accepte de considérer comme adaptogène est beaucoup plus restreint que la liste des toniques majeures chinoises et des rasayanas indiennes.

David Winston, auteur de Adaptogens Herbs for Strength and Stress relief considère que, sur la base des recherches publiées, seules que huit plantes peuvent être considérées comme des adaptogènes confirmés. C’est pour quoi il distingue les catégories de plantes adaptogènes avérées, probables et possibles.

Les adaptogènes avérés suite aux recherches pharmacologiques seraient :

- 1. le Ginseng asiatique (Panax ginseng),
- 2. le Ginseng américain (Panax quinquefolius),
- 3. l’ashwagandha (Withania somnifera),
- 4. l’eleuthéroque (Eleutherococcus senticosus),
- 5. le Schisandra (Schisandra chinensis),
- 6. l’orpin rose (Rhodiola rosea),
- 7. Rhaponticum (Rhaponticum carthamoides)
- 8. Cordyceps (Cordyceps sinesis).
- 9. Shilajit ou asphalte noire (Asphaltum bitumen)

Les plantes qui peuvent être classées comme probables adaptogènes seraient

- Tulsi ou basilic sacré (Ocimum sanctum)
- Suo Yang ou champignon de Malte, (Cynomorium songaricum ou Cynomorium coccineum)
- Tianqi, san qi ou notoginseng (Panax notoginseng)
- Shatavari ou asperge à grappe (Asparagus Racemosus)
- Ba ji Tian (Morinda officinalis),
- Dou-loupe, angélique de Corée ou angélique en arbre du Japon (Aralia elata) ou (Aralia mandshurica),

Les plantes qui peuvent être classées comme adaptogènes possibles seraient :

- Dang Shen, racine de Codonopsis,(Codonopsis pilosula)
- Prince Seng (Pseudostellaria heterophylla),
- Reishi, Lingzhi, ou Ganoderme lingzhi (Ganoderma lucidum)
- Bignone à vrilles, Bignone orangée (Bignonia capreolata L.)
- Du Zhong, arbre à gomme (Eucommia ulmoides)
- Guduchi (Tinospora cordifolia)

Les plantes dites adaptogènes probables ou possibles n’ont tout simplement pas suffisamment bénéficié de recherches et les résultats nécessaires pour les définir clairement comme des adaptogènes ne sont pas disponibles dont les critères, rappelons le sont

- d’être non toxique à des doses thérapeutiques normales
- de produire un état non spécifique de défense à des stres divers
- d’avoir un effet normalisateur des paramètres et processus physiologiques altérés par un stress aigu ou chronique.

Winston qualifie de « toniques nutritifs » d’autres plantes nourrissantes et fortifiantes, mais qui ne répondraient pas à la définition d’un adaptogène. Il s’agit de plantes comme :

- l’amla (Phyllanthus emblica)
- Huang Qi, l’astragale de Chine (Astragalus membranaceus)
- la baie de goji, baie du lyciet commun (Lycium barbarum) et du lyciet de Chine (Lycium chinense)
- la maca, ginseng péruvien (Lepidium meyenii)

Plantes présumées adaptogènes présentes en Afrique de l’Est

Parmi les plantes « rasanaya » les plus réputées en médecine ayurvédique indienne, quatre sont des espèces végétales présentes en Afrique de l’Est. Il s’agit de Withania somnifera reconnue comme adaptogène avéré ; des probables adaptogènes Asparagus Racemosus, Ocimum sanctum et Ocimum gratissimum qui est endémique en Afrique ;

-  Withania somnifera , appelée « Umuhire » en Kinyarwanda, « Umusendabazimu » (Kirundi), est connue en Inde sous le nom « Ashwagandha ». En français on l’appelle « Ginseng indien » ou « Cerise d’hiver » et en anglais « Indian ginseng », « Poison gooseberry », ou « winter cherry ».

La plante est largement utilisée, seule ou en association avec d’autres plantes, contre de nombreuses affections en ayurveda. Elle contient un spectre de substances phytochimiques diverses lui permettant d’avoir un large éventail d’activités biologiques : antimicrobiennes, anti-inflammatoires, antitumorales, anti-stress, neuroprotectrices, cardioprotectrices et antidiabétiques. Withania somnifera a en outre démontré une capacité à réduire les espèces réactives de l’oxygène, à moduler la fonction mitochondriale, à réguler l’apoptose, à réduire l’inflammation et à améliorer la fonction endothéliale. L’ensemble des propriétés de la plante lui confère une bonne capacité à renforcer les défenses immunitaires de l’organisme en même temps qu’un bon potentiel pour prévenir et traiter divers troubles notamment liés au système nerveux.
Huit études cliniques distinctes ont démontré l’efficacité de cette plante à accroître l’endurance des athlètes. Comme d’autres plantes adaptogènes, son principal avantage provient de sa capacité à améliorer la résistance au stress, notamment en réduisant le cortisol de 30 %. Les avantages secondaires comprennent l’amélioration de la consommation maximale d’oxygène des sportifs, l’amélioration de la combustion des graisses) et des performances. Les études indiquent qu’il s’agit d’un ingrédient systémique dépendant de la dose qui doit être consommé quotidiennement pendant 8 semaines ou plus pour exercer un effet significatif.

Asparagus racemosus qui est appelé Isagara ou Fitinywa en kinyarwanda, et asperge à grappe en français est traditionnellement connu en Inde sous le nom de shatavari qui signifie qui « possède une centaine de maris » ou « qui est acceptable pour plusieurs ». Dans l’Ayurveda, Shatavari est considérée comme est le principal tonique rajeunissant ayurvédique pour les femmes, tout comme Ashwagandha pour les hommes. Les deux principaux textes sur les médecines ayurvédiques, (Charak Samhita écrit par Charak et Ashtang Hridyam écrit par Vagbhata) mentionnent Asparagus racemosus dans les formules pour traiter les troubles affectant la santé des femmes Elle est réputée bénéfique dans les cas d’infertilité féminine, car elle augmente la libido, soigne l’inflammation des organes sexuels et humidifie les tissus des organes sexuels, améliore la folliculogénèse et l’ovulation, prépare l’utérus pour la conception, prévient les fausses couches, agit comme un tonique post-partum en augmentant la lactation et en normalisant l’utérus et les changements hormonaux. . .
Dans les pratiques ayurvédiques modernes, les racines de la plante sont considérées comme efficaces comme antispasmodiques, apéritif, tonique de l’estomac, aphrodisiaque, galactogogue, astringent, antidiarhée, antidysentique, laxatif, anticancéreux, anti-inflammatoire, purificateur de sang, antituberculeux, antiépileptique et également dans la cécité nocturne, les problèmes rénaux et les problèmes de gorge.

Des études ont montré qu’Asparagus racemosus possède des propriétés antioxydantes qui seraient dues à la présence d’isoflavones, en particulier le racemofuran, l’asparagamine A et le racemosol. Le caractère adaptogène d’Asparagus racemosus a été éprouvée par la démonstratio (avec d’autres herbes) à normaliser la perturbation régionale de la concentration de noradrénaline, dopamine et 5-hydroxytryptamine, induite par le stress chronique.

Asparagus racemosus

-  Ocimum sanctum qui est originaire d’Inde a récemment été introduit au Rwanda ou il s’est bien adapté. En Inde, le tulsi est rattaché au culte de Lakshmi, déesse et épouse du dieu Krishna. La légende rapporte qu’elle se transforma en branche de Tulsi). Depuis, cette plante est considérée comme sacrée et liée à l’immortalité. Elle est utilisée pour chasser maux et démons, chargée de purifier les humains. C’est pourquoi on trouve un pot de Basilic sacré dans presque toutes les maisons en Inde : disposé là tant pour la protection contre les mauvais esprits que pour améliorer au quotidien la vitalité et la forme physique des habitants…

Le tulsi est considéré comme une plante revitalisante des fonctions vitales et protectrice du système cardio-vasculaire et digestif ; elle est aussi utilisée comme antalgique et anti-inflammatoire, et a une puissante action antibactérienne, antivirale, antifongique...

La plante exerce une action bénéfique sur la sphère pulmonaire soit dans un contexte infectieux ponctuel , soit dans le cas des « allergies respiratoires », que celles ci soient chroniques ou circonstancielles, par exemple relatives aux pollens. Sa composition, à la fois anti-bactérienne et purifiante, permet au tulsi de libérer la respiration tout en assainissant les bronches.

Le Tulsi exerce une action régulatrice de la fonction pancréatique et digestive.

Concernant la sphère psychique, le Tulsi aurrait une action puissante de relaxation, de renforcement des capacités à résoudre des problèmes en situation de stress ou d’intense réflexion. Il est enfin très apprécié dans les cas d’insomnies dites « de surcharge digestive ».

Ocimum sanctum

-  Ocimum gratissimum qui est appelée « Umwenya » en kinyarwanda et « Agatunda » en Kirundi est connue en Inde sous le nom « Rama Tulsi ». En français on l’appelle « basilic africain » et en anglais « clove basil » ou « African basil »

La recherche confirme la validité des usages traditionnels en matière de prévention et traitement d’un large spectre d’affections et maladies. L’extrait foliaire éthanolique d’Ocimum gratissimum s’est révélé efficace pour inhiber ou prévenir des états pathologiques après infection et capable de réduire la dégradation excessive des globules rouges et de neutraliser la toxine produite par l’organisme.

Mis en ligne par La vie re-belle
 23/12/2018
 https://www.lavierebelle.org/introduction-aux-plantes

Soigner avec les plantes

Pratique de médecine populaire, fondée sur l’utilisation des ressources naturelles du milieu, et complémentaire de la médecine académique

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